Projets de la phase d'évaluation

Projets de la phase d'évaluation

Les projets de la phase d'évaluation permettent de comprendre le fonctionnement de la vallée de la Sélune avec les barrages.

Dans ce dossier

Ce projet définit l’état initial avant effacement des barrages concernant les poissons diadromes et les écrevisses invasives. Cela permettra de suivre la (re)colonisation de ces espèces sur l’ensemble du bassin versant après l’effacement.

Ce projet établit un état des lieux des peuplements, et du fonctionnement des réseaux trophiques aquatiques de la Sélune maritime avant effacement des barrages.

Ce projet dresse un état de référence, avec les barrages, des interactions trophiques entre les biocénoses aquatiques présentes sur la Sélune, allant des microorganismes aux poissons, dans les affluents et le fleuve lui-même de sa source à l’entrée dans l’estuaire.

Ce projet évalue l’impact des barrages sur les communautés animales et végétales aquatiques en lien avec la qualité de l’eau (zooplancton, macroinvertébrés, phytoplancton, periphyton, macrophytes).

Ce projet met en place un dispositif et des indicateurs de suivi afin de définir l’état initial, avant effacement, de la végétation, du paysage, et des systèmes agricoles.

Ce projet compare la mise en place, l’acceptation et le déroulement de projets d’effacements de barrages en France, avec l’exemple de la Sélune, et aux Etats-Unis, où plusieurs cas d’effacements similaires se sont déroulés.

Ce projet traite des dimensions socio-économiques et paysagères de l’opération d’effacement des barrages hydro-électriques de la Sélune. Il a pour objectif de dresser un état des paysages et des pratiques à l’œuvre dans la vallée de la Sélune avant démantèlement.

Ce projet met en place des protocoles de suivi des flux hydriques, chimiques et sédimentaires afin de comprendre le fonctionnement de la Sélune avec les barrages. La géomorphologie du cours d’eau est également étudiée.

Ce projet a pour ambition de mettre au point et d’appliquer une méthode non invasive de suivi des flux de poissons migrateurs dans la Sélune. Le développement de cette méthode repose sur l’analyse d’images et vidéos prises par une caméra hydroacoustique positionnée dans le cours d’eau.